1. |
Harakirira
06:46
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Je m’adresse à vous qui êtes en vie
Nous partons ce soir c’est fini
Pas à pas sur les corps croustillants
Fuyons l’combat, rompons les rangs
Les suceux de moelle resteront ici
Même nos familles et nos amis
Nous, dissidents, la mort aux dents
Tonneront tant pis pour nos tympans
Nous qui n’avons jamais choisi de naître
Sur les brancards de leurs histoires de merde
Nous oublierons la chair de nos ancêtres
En chiant dans leurs canons décorés pour le temps des bêtes
C’est parti, tant pis vagabond bin bon
Les ennuis dormiront à la maison
Car notre cri c’est le silence qui crève au front
C’est fini, oui, pour de bon
Des hommes de boue assis dans flotte
C’est la corde au cou qu’on préfère les menottes
Les ampoules dans nos bottes
Éclairent d’un nouvel éclat
Sois tu mouilles ta culotte
Ou tu deviens complètement gaga
Je m’adresse à vous qui êtes en vie
Nous partons ce soir c’est fini
Pas à pas sur les corps croustillants
Fuyons le combat, rompons les rangs
Les suceux de moelle resteront ici
Même nos familles et nos amis
Nous, dissidents, la mort aux dents
Tonneront tant pis pour nos tympans
Nous qui avons, oui, bien sûr choisi d’être,
Ces coups de bâtons dans le flanc des frontières
Les maux de ventre excusent les mots de tête
Désertons leur monde, désolé, à chacun sa civière
C’est parti, tant pis vagabond bin bon
Les ennuis dormiront à la maison
Car notre cri c’est le silence qui crève au front
C’est fini, oui, pour de bon
Des hommes de boue assis dans flotte
C’est la corde au cou qu’on préfère les menottes
Les ampoules dans nos bottes
Éclairent d’un nouvel éclat
Sois tu mouilles ta culotte
Ou tu deviens complètement gaga
Tu t’es fourré le doigt dans le deuil
Prison sans bière, sans funérailles
Tu choisis ta guerre, pas l’cercueil
Où se poseront tes cheveux en bataille
Dans un labyrinthe panoptique
Sans vinasse Vénus apparait
Toi pis ton drapeau amnésique
Jamais vous ne toucherez son sommet
Tu as tué par la soif, tu te noieras dans une fiole, sur un fleuve de mélasse avec le vent dans les viols
Tu as tué par l’épée, tu périras par l’épée, haraki rira rira bien le dernier
Tu as tué par amour, tu saigneras c’que tu culbutes, allez montres-moi ton petit cœur qui palpute
Tu as tué pour créer, on a tué notre bébé, pas capable de m’attraper, non pas capable de m’attraper
Tu as tué par la soif, tu te noieras dans une fiole, sur un fleuve de mélasse avec le vent dans les viols
Tu as tué par l’épée, tu périras par l’épée, haraki rira rira bien le dernier
Tu as tué par amour, tu saigneras ce que tu culbutes, allez montres-moi ton petit cœur qui palpute
Tu as tué pour créer, on a tué notre bébé, pas capable de m’attraper, non pas capable de m’attraper
De m’attraper
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2. |
La Clé
05:21
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Plus rien à gratter dans l’fond de mes poches
Je n’ai qu’l’haleine du matin qui me berce sur mon porche
Mon trousseau s’est égaré, il a pris la clé des champs
Je dois revenir maintenant sur mes pas chancelants
Les vestiges de la veille me dirigent
C’pas les croutons du Christ, oui, mais l’odeur de ma pisse
Les ordures qui vomissent leurs vertiges
Perchés sur les voitures et mon sang qui bouillonne sur les pare-brise
Il y a des bitures qui finissent mal sur le bitume et l’on regrette
On aurait dû se faire la malle au lieu de prendre la poudre d’escampette
J’crois qu’elles étaient là
Qu’elles sont par là
Qu’elles seront là-bas
Oui qu’elles sont là
La la la la
La la la la la la la la
J’ai perdu mes clés
Surfant sur les ruines de mon tapage nocturne
Je fouille mon délit de cuite à genoux dans les débris
Dans les cendres des pancartes qui grimacent loin des urnes
Le sucre des flash-backs a un arrière-goût d’incendie
Les indices que j’ai suivis à la ligne
Aboutissent finalement dans les bras d’un parking
Une porte s’ouvre sur un boucan d’enfer
Je m’élance, c’est ma chance, je m’écroule sous la caresse d’un cerbère
Il y a des bitures qui finissent mal sur le bitume et l’on regrette
On aurait dû se faire la malle au lieu de prendre la poudre d’escampette
J’crois qu’elles étaient là
Qu’elles sont par là
Qu’elles seront là-bas
Oui qu’elles sont là
La la la la
La la la la la la la la
Laissez-moi entrer
Va-nu-pieds mal chaussé
Ouvrez-moi par pitié
Serrurier mal barré
Taillez-moi une clé
J’ai trouvé la clé à tous mes problèmes
M’en faire une dernière et faire sauter la scène
Va-t-il faire sauter la scène, va-t-il faire sauter la scène
Va-t-il faire sauter la scène, il va faire sauter la scène
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3. |
Bordeldorado
05:25
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Pendant que les fables aurifères astiquent leurs trophées de paillette
La fête prospère et moi je m’enfuis sans tambour ni trompette
Je rêve d’une œuvre, mais elle se tord derrière le tableau
Rond comme une queue de pelle j’enfouis le Bordeldorado
La roche qui roule dans le fond de la gorge
Excite le palais des mangeurs d’or
Aux dents de sédentaire
C’est dans un foyer que l’on forge
Les instruments des chasseurs d’histoires
Et des cueilleurs de pierres
Je cache ma tanière loin des feux d’or et de vices
Gardez vos trésors et votre tralala
Je ne croise pas le fer des mafieux d’artifices
Je garde ma garnotte et mon brouhahaha
Commande un trio veau d’or
Bidoche qui vient de Saint-silicone
Les déchets d’œuvre du grand condor
Se crossent le cul sur leurs pylônes
Pendant qu’ils braillent des hallebardes plaquées de crainte, moi je pointe ma lance
Vainement sur la camarde, pour incarner mes doléances
Je rêve d’une œuvre sans podium qui peint son dégoût pas de pinceau
Elle vaut son pesant d’homme écrasant le Bordeldorado
La roche qui roule dans le fond de la gorge
Excite le palais des mangeurs d’or
Aux dents de sédentaire
C’est dans un foyer que l’on forge
Les instruments des chasseurs d’histoires
Et des cueilleurs de pierres
Je cache ma tanière loin des feux d’or et de vices
Gardez vos trésors et tout le tralala
Je ne croise pas le fer des mafieux d’artifices
Je garde ma garnotte et mon brouhaha
Commande un trio veau d’or
Bidoche qui vient de St-Silicone
Les déchets d’œuvre du grand condor
Se crossent le cul sur leurs pylônes
Commande un trio veau d’or
Bidoche qui vient de St-Silicone
Les déchets d’œuvre du grand condor
Se crossent le cul sur toutes les ondes
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4. |
Bienvenue Dans Le Trou
04:14
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Bienvenue dans le trou
Faites comme chez vous
À partir d’aujourd’hui
La seule issue
Est six pieds sous terre, c’est ici
Qu’on va creuser et que ça sue
On va épuiser la mine
On va se demander à quoi ça rime
D’essayer de percer l’hiver
Dans un trou et demi à ciel ouvert
En bouffant des chandelles
Brûlées par les deux bouts
Pas de lumière dans le tunnel
On n’est pas sorti du trou
J’suis fier de vous
Mais où êtes-vous
On n’est pas sorti du trou
Bienvenue dans le trou
J’suis fier de vous
À partir d’aujourd’hui
C’est sans issue
C’est six pieds sous terre qu’on vit
On va creuser et que ça sue
On va extraire des gisements
Le dernier de tous les gémissements,
Nos fossiles en bandoulière,
La foule remplira notre cratère
En bouffant des chandelles
Brûlées par les deux bouts
Pas de lumière dans le tunnel
On n’est pas sorti du trou
J’suis fier de vous
Mais où êtes-vous
On n’est pas sorti du trou
Je creuse
Tu rêves
Je creuse encore plus creux
Je creuse
Tu ris
Je creuse et c’est tant mieux
Je rêve
Tu creuses
Je rêve encore à toi
Je ris tu creuses
Je ris et c’est comme ça ha ha ha ha
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5. |
La Perle
06:03
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Oui, il s’est percé les yeux
Pour ne plus revoir
Le tranchant des aveux
Coupant comme son miroir
Mais ce n’était qu’un jeu
Mais t’sais c’t’en jouant dans le noir
Qu’il joue avec le feu
Et le fun sans effort
Dans les étangs bourbeux
Où murissent les barbares
Comme il s’éclate tant mieux
Au milieu d’une fanfare
Les marchands adipeux
Remplissent les dards ce soir
De breuvages onctueux
Ménagez vos mouchoirs
Quand la nuit fait des étincelles, vaut mieux se cacher
Dans le ventre des poubelles sans se blesser
Parce qu’une putain de perle sans un collier
Ça s’perd au fond des ruelles, libre comme un chien
Oui comme ce chien fidèle à rien
D’autre qu’au lendemain
Cruel d’instinct, car il croit, je crains
Que le ciel s’éteint entre ses deux mains
Enfin je crains, oui, car il ne craint rien
Rien qu’un échec vaseux
Quand sa tour d’ivoire
S’enfonce tant qu’elle peut
Où la langue fait éclore
Un songe langoureux
Et le souffle du bâtard
Qui se noie dans les adieux
Quand il rugit sa gloire
C’est à la gloire des gueux
Décapités trop tard
Dans un chaos capiteux
Qu’il crie qu’il croit encore
Que si ça se joue à deux
Bien vaut mieux jouer dehors
Tant qu’on n’est pas frileux
De perdre la perle rare
Quand la nuit fait des étincelles, vaut mieux se cacher
Dans le ventre des poubelles sans se blesser
Parce qu’une putain de perle sans un collier
Ça s’perd au fond des ruelles, libre comme un chien
Oui comme ce chien fidèle à rien
D’autre qu’au lendemain
Cruel d’instinct, car il croit, je crains
Que le ciel s’éteint entre ses deux mains
Enfin je crains, oui, car il ne craint rien
Quand elle fait des étincelles, vaut mieux se cacher
Quand elle fait des étincelles, vaut mieux se cacher dans les poubelles
Elle éteint les étincelles pour la journée
Elle éteint les étincelles pour enfiler perles au collier
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6. |
Salle D'attente
01:31
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J'ai uriné
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7. |
Métronome Décadant
04:08
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Ça ne prend pas la mèche
Courte d’un Nobel pour s’éclater
Et faire des flammèches
Jouir dans les bébelles et filer en douce de la file d’attente
Moi j’veux juste faire boucaner ton corps de silex
Mais je suis emporté par la valse des clients
Métronome décadent, le temps est ambidextre
De la droite il m’embrasse, de la gauche il me prend
Le couch-man vénère ses icônes
À genoux, il passe le dernier monde
Je ne veux pas vendre la mèche
Mais ça va faire une bonne secousse
Que j’ai la yeule sèche
Mais peut-on se saouler en douce dans la salle d’attente?
Moi j’veux juste faire boucaner ton corps de silex
Mais je suis pris au creux de la valse des patients
Métronome décadent, le mal est ambidextre
De la droite il me brûle, de la gauche il me pend
J’arriverai au comptoir bien stone
Dans l’ventre les cachets comprimés dans l’cœur d’une bombe (boom)
C’est l’heure maman j’ai mal au monde
Papa les dernières minutes comptent
Ça tourne bébé, reste une seconde
J’tourne dans l’sens des aiguilles d’une bombe
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8. |
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Tous les barbeaux des bambins ont des cheminées qui fument
Bien plantées sur une piaule à coup de crayons de couleurs de vives
Dans le coin de la page en haut il sourit monsieur l’agrume
Au bain de chlorophylle vivant et vert de vertige
Moi j’étais comme ça jadis, un domicile douillet
D’une famille turbulente, éclatée mais éclatante
Qui revenait au bercail gazouillant l’alphabet
Un foyer dans mes entrailles sous ma charpente qui tanguait
Puis ils ont poussé et firent shaker les fondations
De ce nid à décibels, d’un homme à la mer et d’une poule patiente
L’oisiveté est mère de tous les vices cachés sous le salon
Tous ces cris couverts ont fait de moi une cabane hurlante
Quand l’arbre a craqué le vent a pris le taureau par les cornes
Un bourgeon s’est posé près de sa voix sans faire de bruit
Même si je sais maintenant qu’il n’a pas dépassé les bornes
Je me demande encore pourquoi vous m’avez laissé ici
Abandonnée
Moi la maison hantée par vos fantômes
Venez les chercher
Avant que la poussière tombe
Sweet home
Je balaye la lumière sous le tapis
Vos souvenirs traversent le cimetière
Enclave préservée de l’oubli
Le passé donne sur la cour arrière
Home sweet tombe
J’vois les autres maisons dans leurs pâtés à chair potelée
Maintenant les bestioles s’enfargent dans les pleurs de mes tapis flottants
Avec des crayons de suie, le temps à colorier
Mettant du plomb dans les ailes craquées des planchers volants
Pendant que s’défoncent dans l’grenier gargouilles et maquereaux
Usé jusqu'à la corde mon cœur est mort d’usage
Dire que dans ma tête j’abrite des statues de peau
Pendant qu’un ange infirme est pendu dans l’garage
Mais c’est fini aujourd’hui on casse la baraque
Enfin les machines vont foutre mes jeux de foi dans un feu de joie
Visage flambant neuf perçant les cendres du cloaque
Deus ex machina, de galetas à villa
Mon air cafardeux entre les mains squelettiques de ce capharnaüm
Les murs s’réparent plus vite que les jointures de l’enfance
Me vois-tu comme nos voisins fardés en cachots fongiformes
Grinçant à mes fantômes mes sincères condos condoléances
Abandonnée,
Moi la maison hantée par vos fantômes
Venez les chercher
Avant que la poussière tombe
Sweet home
Je balaye la lumière sous le tapis
Vos souvenirs traversent le cimetière
Enclave préservée de l’oubli
Le passé donne sur la cour arrière
Home sweet tombe
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9. |
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Couché dans ma sablière, le doigt planté dans l’orifice
D’un nid de guerrier de guerrières, moi le prince ingrat de cette milice
Trop jeune pour les mettre dans mes poches, trop vieux pour les mettre dans ma bouche
Pendant qu’elles jonglent avec des roches, et bien moi je remplis ma couche
Je regarde un monde à l’envers sous les gradins pleins de spectateurs
Et moi cloué à ma litière, je touche la folie des grandeurs
Bien couché sur mon trottoir, je lance les miettes qu’on m’a lancées
Aux ouvriers aux ouvrières, moi le corps cassé non réclamé
Trop pauvre pour leur donner ma bière, trop sale pour protéger leur ville
Pendant qu’elles jonglent avec des pierres, moi l’roi sénile j’tends ma sébile
Je regarde un monde à l’envers, sous les gradins pleins de spectateurs
Car moi, figé sous la gouttière, je goûte la folie des grandeurs
Couché dans mes pages, dans mes pages blanches comme ton visage
Oui, toi ma reine à mirages, maître dans l’art du maquillage
Je vais me couper les antennes et inonder les images
Des fables de la borne-fontaine, en leur crachant au visage
Je me sens sale mais fier, à coups de pieds dans fourmilière
Je me sens sale mais fier, à coups de pieds dans fourmilière
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10. |
Sais-tu Nager?
05:49
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Qui aurait pu résister
Aux flotteurs gonflés d’une sirène dans le savon
Plongeur peux-tu m’attraper
Sans ton filet à la con?
Plongeur sais-tu nager?
Bien-sûr j’ai mordu à l’hameçon
T’sais quand t’es pas dans ton assiette
Quand elles s’empilent sans perdre le rythme
Moi j’détache mon boulet de cannette
J’t’un homme osti pas un domestique
Je me casse au-dessus du lavabo
Elle me dit qu’elle s’appelle Mirajel®
Alors je la prends par le goulot
Je lui roule une pelle une crisse de pelle
Alors on s’aime à se mutiler
On sème la mort avec humour
Un flot de comédie compliqué
Avorte la vie mais porte l’amour
Éjacule coagule dans les bulles
Mon organe c’t’un onguent
Pour me soigner des tentacules
Je me tords les boyaux tendrement
Oui mais plongeur sais-tu nager
Qui aurait pu résister
Aux flotteurs gonflés d’une sirène dans le savon
Plongeur peux-tu m’attraper
Sans ton filet à la con?
Plongeur sais-tu nager?
Bien-sûr j’ai mordu à l’hameçon
Je sais que j’ai un bon coup de fourchette
On va me cueillir à petite cuillère
L’couteau salissait les serviettes
Bien plus que le bouillon funéraire
Non j’avais pas le pied marin
Pour faire shiner mes chaînes de verre
Et surtout pas le bon tremplin
Au-dessus de la chaîne alimentaire
Le poids du poison ne s’attarde
Quand un essaim de frissons jaillit
Le cœur d’une fille est une grenade
Sa goupille tombe au dernier cri
Le dernier cri je l’attends plus
Je l’entendais, toi l’entends-tu
Moi seul, les sirènes crèvent mes tympans
Et m’emmènent loin leurs chants
Oui mais plongeur sais-tu nager
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11. |
Aquarium
05:19
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Les deux yeux brouillés, je t’observe,
Dans l’écran sur mon mur et si j’y plongeais
Tête première l’écume aux lèvres
Sifflant la robine j’ouvre le robinet
J’me noie, mélo maestro, dans ton maelström
Dégât d’eau d’vie dans l’aquarium
J’me regarde les deux pieds dans la gerbe
Un écran dans ma main, et si j’me laissais
Couler vingt mille lieues sous les merdes
Mais je tète le fond, j’vomis mon reflet
Je me noie, mélo maestro, dans mon maelström
Dégât d’eau d’vie dans l’aquarium
La soif s’achève au compte-crisse-de-grosses-gouttes
Tu crèves l’écran et je me pinte dans ma bulle
Pendant que tu brailles à boire debout
Je suinte du beurre de pilules
Je me naye, mélo maestro, dans notre maelström
Dégreille d’eau d’vie dans l’aquarium
L’écran se vide c’tu moi ou j’hallucide
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12. |
Porc Humain
01:26
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Cirrho Rigaud, Québec
Le groupe Cirrho est dans le jus ces temps-ci. Il nage dans un rock alternatif houleux et visqueux. Ils ont les pieds trempés dans leurs chansons, c’est pourquoi ils n’ont pas le temps de répondre au téléphone. Ce groupe existe depuis environ longtemps. Il arrive que les membres de ce groupe pleurent de l’eau sale. Ils aiment jouer des chansons mélancoliques parce qu’ils sont heureux de l’être. ... more
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